Chauffage éolien à axe vertical ?

Principe :

                                Une éolienne à axe vertical alimente un système de chauffage par friction.

Eolienne à géométrie fixe :

 

Eolienne KOMPANI

Auto construction d’un prototype d’essais type Kompani (envergure 3.2m)
Les rendements obtenus pour diverses géométries d’ailes n’ont pas donnés satisfaction, et restent médiocres.

 

 

 

Eolienne à géométrie variable :

  (modèle réduit) 
 Le rendement obtenu est très intéressant, mais l’inertie et le battement des pales est problématique  

Principe

Nouveau projet d’auto-construction

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Friction et Fusion froide
Des rendements phénoménaux pourraient etre atteints ?   

 

Rotary Mechanical Heating Device  invented by Eugene Frenette

 

Several of these units have been built. There are several ways to build a simple model,with the rotor and the static parts having the same configuration. They may be a cone , cylinder or normal cup shape as in a tin cans.

It is recommended that the experimenter start with two tin cans. The tin cans should fit one in to the other with about 1/8 inch clearance around the sides and 1/4 inch clearance between the bottoms of the two cans.. High temperature oil is put between the two tin containers ,don't overfill with the oil.

One small unit produced about 110 degrees Fahrenheit in 60 degree room. the outer diameter of the vessel was no more than four inches.

Another unit 30 inch in diameter and using a 1/2 to 3/4 horse power at slow revolution The temperature could easily have risen to between 200 and 300 degrees Fahrenheit. The device heated 16 rooms for about $30.00 a month. The liquid molecules are set into greater motion due to the rolling friction between the stationary and rotating cups.

A good conductor such as steel should be used to conduct the heat. If you can get the liquid at the right thermal vibration the heating action will be intensified. Keep the design simple and operate at very slow speed.

Further improvement would be to have both vessel rotating in opposite directions

 

 

 

Objectif à atteindre :

Ce dispositif assisté d’un inertiel thermique et d’un moteur électrique pour compenser les périodes de vent insuffisant doit permettre une économie d’énergie de l’ordre de 40 % par rapport au chauffage traditionnel

L’investissement représentera environ 150 % de surcout par rapport à une chaudière traditionnelle, soit un temps de retour d’investissement d’environ 8 ans.

pour plus d’infos : eol@olivierguerin.com

 

FUSION FROIDE ?       

Ci-dessous quelques articles trouvés sur le net

 

GRIGGS James

Griggs est ingénieur électricien, conseiller en énergie. C'est en effectuant une vérification de routine qu'il remarqua que des tuyaux d'eau allant à une chaudière étaient anormalement chauds. La compagnie expliquait cela par l'effet de coups de bélier ou cavitation bruyante. Les bulles formées par des chutes de pression dans une partie de la tuyauterie s'effondrent en allant dans des zones de pression supérieure ce qui crée des ondes de choc qui cognent dans les tuyaux et les percent.

Griggs, qui avait alors quinze ans d'expérience voulut transformer en avantage ce qui n'était qu'un problème. Il s'est demandé si les ondes de choc ne pouvaient pas chauffer l'eau. A sa grande surprise, il s'est aperçu que son appareil de chauffage produisait plus d'énergie que celle nécessaire à la création des ondes de choc dans l'eau. Les théoriciens aimeraient trouver la solution à ce mystère, mais les consommateurs eux, désirent simplement résoudre leurs problèmes concrets. Et c'est ce que souhaite faire Griggs.

Après des essais réussis dans des usines, il a fondé en 1990, Hydrodynamics Incorporated. Au début les ventes étaient faibles, mais Griggs continuait ses expériences, fabriquant plus de 700 modèles de rotors. Trois ans plus tard, il prenait un associé avec qui il a investi plus d'un millions de dollars sur ce projet.

Des scientifiques intéressés par la nouvelle énergie sont intrigués et fascinés par la pompe de Griggs qui, rappelons-le produit de l'eau chaude et de la vapeur à partir d'ondes de choc mécaniques et non d'un procédé de combustion. Mais la communauté scientifique orthodoxe est sceptique ou méprisante. Les très nombreux ingénieurs qui ont effectué des tests n'ont pourtant pas pu nier la production de chaleur et de vapeur, ce qui ne les empêche pas de dire que Griggs a fait des erreurs de calcul.

 

En 1992, une caserne de pompiers d'Albany en Georgie a acheté une pompe. En 1996, elle fonctionnait toujours et continuait de produire un excédent d'énergie. En 1993, "Popular Science" ayant parlé de Fusion Froide, Griggs pensa que la science pourrait expliquer ses résultats. Grâce à des conférences aux USA, en Russie et à des chercheurs en Fusion Froide, il apprit que la vapeur bleue souvent rejetée par sa pompe ressemblait bien à un effet obtenu en sonoluminescence.

Il semble qu'un nouvel intérêt se fasse jour. Les départements d'ingénierie civile à l'Institut de technologie de Georgie étudient la pompe pour trouver l'origine de cet excès d'énergie. Les services de Georgia Power ont montré la pompe dans leur centre de développement de nouvelles technologies à Atlanta.

La société de Griggs s'est associée à une autre, en Floride afin d'adapter la pompe au chauffage d'huile synthétique à la place de l'eau. Un tel appareil éliminerait le danger d'incendie présent dans les chaudières à gaz ou électriques puisque la pompe hydrosonique de Griggs n'utilise pas de combustible. On peut aussi l'adapter à d'autres usages, de la pasteurisation du lait au programme spatial en passant par le contrôle de la pollution.

Au symposium du 20/01/1996 sur la Fusion Froide, Griggs a fait un rapport sur les derniers développements des toutes nouvelles versions des Pompes Hydrosoniques dont il existe déjà douze exemplaires en fonctionnement avec des coefficients de performance de 130 à 150 %. Griggs a signé récemment avec la NASA à Huntsville un accord de recherche bilatéral comprenant des mesures indépendantes de l'efficacité de sa Pompe.

La pompe hydrosonique de Griggs a un rotor cylindrique qui s'emboîte parfaitement dans un logement en acier. Quand le rotor tourne, l'eau est contrainte de passer dans le mince espace entre le rotor et le carter. Le rotor est conçu pour créer une turbulence dans l'espace voisin ce qui chauffe l'eau et crée ainsi de la vapeur.

Un test pratiqué par un expert en 1988 a révélé un résultant surprenant de sur unité de 10 à 30 %. De plus, la pompe élimine tout colmatage. Griggs a aussi remarqué, effet inhabituel, qu'il se produit une fusion à peine discernable sur l'extérieur du rotor, fusion qui nécessiterait des températures de l'ordre de 1200°F, bien supérieures à celles produites par de la vapeur sous haute pression. Les minuscules morceaux de matière fondue se ressoudent eux-mêmes au rotor (pour cela il faudrait des températures d'environ 4000°F). Dans la pompe hydrosonique de Griggs, ce n'est donc pas un simple effet de coup de bélier qui est à l'ouvre.

 

 

 

Cold Fusion and Induced Cavitation

      David Moon, who lives just south of me, has speculated extensively about the mechanisms behind the production of various rare radioisotopes, which were not in the material prior the the event. David has published his theories in Infinite Energy magazine, www.infinite-energy.com . The events in question include what I to refer to as alleged fusion resulting from biological activity, electrical stimulation, and induced cavitation. I use the word alleged, because there is considerable controversy about what is happening, and I am being deferential to the opposing point of view. Unfortunately this opposing point of view is held by the majority of the scientific establishment who want to continue to believe that the research results in this paper just aren’t happening.  A leading advocate of this school of thought is Dr. Park among other things Dr. Park edits the American Physical Society’s newsletter. His book Voodo Science is an attack on various areas of what I term new science. He is reported to have said, “I don’t care about isotopic ratios.”

     The idea of electrically induced fusion on platinum electrodes in an aqueous solution enriched with deuterium oxide, originated with the work of Pons and Fleischmann. In my study of the subject, I was quite impressed with the reported occurrence of anomalous radioisotopes and the occurrence of holes which look like an someone struck an electrical welding arc on the electrode. These holes appear when the electrode is microphotographed and are referred to as microeffusions. The Patterson microsphere patents, USP# 5,372,688 and 5,318,675 gets around this problem by coating the layer of palladium with a layer of nickel. This technology is being marketed by CETI, their website’s URL is http://www.onramp.net/~ceti/ceti2.htm .While the Patterson cell produces 10 times as much energy as is consumed to run it, it is not commercially feasible. Until recently, this and all the other low energy fusion research has been unacknowledged by the physics establishment, which continues to spend billions of dollars attempting to produce surplus energy by means of high energy, high temperature, fusion in containment systems. This appears to be changing however because the Department of State is sponsoring a cold fusion and overunity machines conference. I am particularly interested in the work of a European researcher who produced a machine that induces fusion in low pressure steam on nickel crystals by anharmonic stimulation with energy in the ultrasonic frequency range. It is called the Piantelli patent, International Patent #WO 95/20816, anharmonic means frequencies which if we could hear them would not be harmonic. The researchers also mentioned that the fusion reaction is difficult to control, which is probably why the technology has not been brought to market by the Italian corporation which bankrolled the research.

     There are several researchers who are reporting anomalous energy and elemental transmutation by means of induced aqueous cavitation. The Moldova researcher Yuri S. Potapov, has produced a vortex cavitation machine called the Yusmar. There is a site whose URL is  http;//members.aol.com/ fznidarsic/index.html which talks about the Potapov machine.  According to Dr. Yu. N. Bazhutov, it produces anomalous levels of carbon-14. What interests me is that water heated by the Potapov machine, is reported to release more heat into a building than water heated to the same temperature by burning fuel. Our space agency, NASA is working testing a Yusmar machine at one of it’s research facilities.

     I know of two American researchers, James Griggs, inventor of the Hydrosonic Pump™. whose website’s URL is http://hydrodynamics.com/index.html and Paul Hoffman who have produced induced cavitation in water  machines. Paul has a website whose URL is http://members.aa.net/~knuke/ which in addition to having information on his machine has information on induced cavitation which he calls the Cavitation College.  

 

The energy machine of the Russian Scientist Yury Potapov


Picture is a Gif animation. Background sound is a MIDI file.  The MIDI file was producd on MidiSoft software.  Cost for Midi Soft is about $100 Hot water is passed through a venturi. In the low pressure of the venturi the hot water vaporizes. The steam water mix is immediatly sent into a centrifuge where the tiny steam bubbles collapse with extreme shock. This shock is known as cavitation. A blue glow is produced by the cavitation. Many reports from Potapov, Griggs, and George indicate that cavitational processes can produce anomalous energy. Noone is sure if the process is nuclear or zero point. A controversy rages because many tests have not demonstrated excess energy.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La sonoluminescence ou l'étoile mystérieuse

Notre monde regorge de sources lumineuses. La flamme d'une bougie, l'ampoule incandescante d'une lampe et les enseignes publicitaires au néon n'en sont que quelques exemples. La bioluminescence (caractéristique qu'ont certains êtres vivants de pouvoir créer de la lumière) est un procédé que plusieurs ont déjà examiné, une nuit d'été, en s'émerveillant devant le spectacle scintillant d'une colonie de lucioles. Toutefois, une autre façon de produire de la lumière est beaucoup moins connue. C'est la sonoluminescence : l'art d'utiliser le son pour faire de la lumière!

Une expérience relativement simple permet d'observer la sonoluminescence. Par divers moyens, une petite bulle d'air est insérée dans un ballon rempli d'eau (distillée et partiellement dégazée par ébullition), sur lequel sont collés trois transducteurs, des dispositifs qui permettent de changer les ondes mécaniques en ondes électriques et vice versa. Deux de ces transducteurs transmettent les ondes sonores au ballon (le troisième sert de microphone). Ce qui est assez impressionnant, c'est que la sonoluminescence nécessite des ondes acoustiques d'une intensité d'environ 110 décibels, ce qui est comparable à une alarme d'incendie distante de quelques centimètres seulement! Heureusement pour les scientifiques, la fréquence acoustique utilisée est juste au-delà des fréquences perçues par l'oreille humaine! Pour que la sonoluminescence ait lieu, la fréquence des ondes sonores doit être la même que la fréquence de résonance du ballon utilisé. Ainsi, la bulle d'air reste piégée au centre de celui-ci.

La variation de la pression, entraînée par les ondes acoustiques, modifie le volume de la bulle d'air dans le ballon. Lorsque l'amplitude de l'onde sonore diminue, la pression diminue elle aussi et le volume de la bulle d'air augmente, jusqu'à 50 micromètres de rayon environ. Puis, lorsque l'amplitude de l'onde augmente, la bulle d'air succombe à la pression et son volume diminue très rapidement, pour atteindre un rayon d'environ 0,5 micromètres (les forces de répulsion entre les atomes et les molécules de gaz contenus dans la bulle - forces de répulsion de Van der Waals - l'empêchent de rétrécir davantage). Il y a alors création d'une onde de choc, car la vitesse de réduction de la bulle est plus élevée que la vitesse du son dans l'eau. Cette onde de choc converge vers le centre de la bulle d'air, rebondit sur elle-même et c'est à ce moment que surgit la sonoluminescence : un tout petit point lumineux apparaît dans le ballon!

À l'oeil nu, si l'expérience est effectuée dans le noir, cette lumière ressemble à une étoile dans le ciel! Après l'apparition de la lumière, la bulle rebondit plusieurs fois sur elle-même, puis un autre cycle recommence. L'étincelle ne dure qu'environ 50 picosecondes (5 x 10-12 secondes), mais comme le temps entre deux éclairs lumineux consécutifs n'est que de 35 microsecondes (35 x 10-6 secondes), la fausse étoile, à nos yeux, paraît briller continuellement. À titre comparatif, au cinéma, les films se déroulent à raison de 24 images par secondes. Il y a donc une image à toutes les 4 x 10-2 secondes environ. Notre oeil ne parvenant pas à percevoir le « trou » entre deux images consécutives, le film nous semble alors continu. Le même phénomène se produit avec les étincelles de la sonoluminescence! Celles-ci apparaissent si rapidement les unes après les autres que l'oeil ne distingue pas les moments où elles sont absentes.

L'émission de lumière n'est pas la seule conséquence de la sonoluminescence : on peut aussi constater une énorme concentration d'énergie. En effet, la lumière bleutée de cette expérience possède un large spectre qui s'étend loin dans l'ultraviolet, jusqu'à des longueurs d'onde de 190 nanomètres. (En réalité, ce sont les longueurs d'ondes les plus petites qui peuvent se propager dans l'eau, sans une forte atténuation. Certains chercheurs tentent de savoir si la sonoluminescence ne pourrait pas produire d'autres longueurs d'onde, qu'ils n'ont pas encore été en mesure de détecter à cause de cette limite.) La lumière de longueur d'onde de 190 nanomètres est constituée de photons d'une énergie de plus de 6 eV. En considérant la bulle d'air comme un corps noir (un parfait émetteur d'énergie), la température à l'intérieur de celle-ci, lors de l'émission de la lumière, serait de plus de 72 000 Kelvins, car il faut une température d'envion 12 000 Kelvins pour produire un rayonnement de 1 eV. Ce qui voudrait dire que la température à l'intérieur de la bulle serait environ 10 fois plus élevée que la température à la surface du Soleil!

Selon certains scientifiques, l'énergie de la sonoluminescence pourrait éventuellement servir à produire de la fusion nucléaire! Certains chercheurs tentent de faire de la fusion à confinement magnétique dans un tore, pendant que d'autres, essaient d'utiliser la sonoluminescence pour faire de la fusion à confinement inertiel. En d'autres termes, la sonoluminescence pourrait permettre de piéger les réactifs au centre d'un système de fusion nucléaire, en plus de fournir l'énergie nécessaire pour produire la fusion. L'énergie produite par la sonoluminescence est aussi utilisé, en sonochimie, comme catalyseur dans certaines réactions chimiques servant à créer de nouvelles molécules.

Bien que la sonoluminescence soit une expérience facilement réalisable, son mécanisme exact demeure encore inconnu. Cependant, au cours des années, plusieurs hypothèses ont été proposées par les scientifiques.

En 1934, le phénomène de la sonoluminescence fut observée pour la première fois par H. Frenzel et H. Schultes, de l'Université de Cologne, en Allemagne. Selon eux, tout n'était qu'une question d'électricité statique! Les ondes sonores provoqueraient la croissance et l'effondrement de la bulle dans l'eau. Ce mouvement, la cavitation (que l'on peut très bien voir sur l'image de cette bulle sur le point de s'effondrer), occasionnerait la séparation des charges électriques. À ce moment, les étincelles seraient émises - le même type d'étincelles que celles qui sont créées par la foudre!

Puis, en 1952, les chercheurs se demandaient comment l'échauffement pouvait entraîner l'émission de la lumière. Ils formulèrent l'hypothèse que l'énergie provevant de l'implosion de la bulle était suffisamment grande pour pouvoir dissocier les molécules de la cavité. En se recombinant, ces molécules émettraient la lumière caractéristique de la sonoluminescence.

Aujourd'hui, c'est l'hypothèse (décrite un peu plus haut) impliquant l'onde de choc qui est la plus populaire. Toutefois, rien n'est encore définitif! La sonoluminescence dissimule encore bien des mystères!

Marie-Ève Gosselin j

Effets de la variation de la pression

La courbe rouge représente la variation de la pression exercée sur la bulle d'air, tandis que que la courbe verte illustre la variation du rayon de la bulle. Celle-ci prend de l'expansion lorsque la pression faiblit puis, se contracte subitement lorsque la pression augmente. Les pics de la courbe bleue symbolisent l'émission de l'éclair lumineux de la sonoluminescence.

Bibliographie

Raymond A. Serway, Physique III: Optique et physique moderne, 4e édition, Éditions Études Vivantes, Laval, 1996, p. 58.

Seth J. Putterman, Sonoluminescence : sound into light, Scientific American 272, février 1995, p.46.

Seth J. Putterman, Un son et lumière avec une bulle, La recherche 255, volume 24, juin 1993, p. 750.

http://www-phys.llnl.gov/N_Div/sonolum/

http://www.scs.uiuc.edu/~suslick/britannica.html

Images

SONOLUMINESCENCE : http://www.aip.org/physnews/graphics/html/sonophot.htm

BULLE : gracieuseté de M. Russ George, Palo Alto, CA, http://rsrch.com/saturna/

GRAPHIQUE : Lawrence Crum, Sonoluminescence, Physics Today 47, septembre 1994, p.26.

Diminuer la taille du réservoir=>diminué l’inertie=> tendre vers fréquence de résonance de l’air ?